On est tombé sur une vidéo publiée il y a un peu de temps. On a d’abord pas voulu y croire, que c’était un fake. Et puis on s’est rendu à l’évidence, Michael Jordan préférait adidas à Nike. Il aurait volontiers signé les yeux fermés avec la firme allemande à sa sortie de l’université. Mais voilà jamais adidas n’est venu le voir. Mais que ce serait-il passé s’ils avaient conclu le deal avec sa majesté des airs ?

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Ceux qui ont vu « Retour Vers le Futur » savent de quoi je parle, modifier le passé entraine toujours des conséquences sur le futur. Partons alors du principe qu’en 1984, lorsque Micheal s’engage avec les Bulls de Chicago, il signe avec adidas. Ses capacités physiques et ses dunks de folie convainquent adidas de lancer un modèle muni d’une bulle d’air dans la semelle, c’est la adidas air plus connue sous le nom de la AA ou Double A qui deviendra plus tard la Triple A, amazing adidas air, inspirant ainsi les agences de notation qui créeront la note standard AAA.

Nike de son côté, n’ayant pas signé le plus grand basketteur de tous les temps, se rabat sur un jeune footballeur français arrivé aux Girondins de Bordeaux en 1992, Zinedine Zidane L’équipementier américain prend toute l’industrie à contre pieds en signant un footballeur européen. C’est le début de succès, la marque signe les plus grandes sélections, la France, puis l’Allemagne, au nez d’adidas, et enfin l’Espagne. Avec Zidane, Nike lance la Alien, une nouvelle chaussure à crampons rectangulaires, ils avaient pensé au nom Predator mais après réflexion ils se sont dit qu’un Alien contre un Predator, c’est l’Alien qui gagne et que ça serait même marrant d’en faire un film.

La suite vous la connaissez, une guerre sans merci avec les plus grands athlètes du monde. Mais tout ceci n’est jamais arrivé, peut-être parce qu’en 1984, un responsable du marketing d’adidas a voyagé dans le temps et vu ça…